Un dimanche d’amour avec Hyacinthe

dimanche 15 novembre 2015, par Antoine Laurent.

L’important, au final, c’est de continuer à aimer, encore plus aujourd’hui qu’hier. Et ça, Hyacinthe l’a bien compris. Une semaine avant les attentats qui ont déchiré Paris, ce vendredi 13 novembre, nous passions un dimanche avec le rappeur de DFHDGB à parler de haine, d’argent, mais surtout de love. À quelques jours de la sortie de son premier album, SLRA2 : Mémoire de mes putains tristes, Hyacinthe nous entraîne dans les abysses de son amour, alors que d’autres sirènes crient dans Paris.

Quand on a (plus) que l’amour. Une semaine avant que la capitale française ne soit meurtrie par l’horreur, nous avions rendez-vous avec Hyacinthe au Nord de la capitale, porte de Clignancourt. Le thème de la discussion ? L’amour, bien entendu. L’amour, cet ultime faisceau qui nous permet de ne pas sombrer quand tout vacille, qui nous réchauffe quand tout nous glace, qui nous rappelle ce que c’est qu’être humain. À quelques jours de la sortie de son premier album, SLRA2 : Mémoire de mes putains tristes, le rappeur de DFHDGB s’est ouvert sur tout ce qui l’anime au quotidien. C’est au  Wonder, centre artistique situé au cœur des puces de Saint-Ouen dans les anciennes usines de fabrication des piles du même nom, que l’acolyte de L.O.A.S et de Krampf nous a amené dans son univers, sur sa route. Celle de l’am(m)our ? Oui, mais pas seulement.


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