Dans le monde où l’on vit, Al’Tarba aurait été catégorisé terroriste pour son nom à consonance, mais dans le monde de la musique, c’est un petit producteur qui monte. Fan de rap et de punk – quel est le rapport entre les deux ? demandez-lui – le beatmaker toulousain, et MC à ses heures perdues, a préféré se diriger vers le achipé-achopé mais n’en garde pas moins des influences assez mohawk.
Ayant comme références le Wu-Tang, Jedi Mind Tricks ou les films de Kubrick – quoi de mieux ? – le producteur produit des galettes bien sales, bien glauques mais toujours bonnes à écouter.
Il a fait quelques EPs en solo mais bosse principalement en collaboration comme en groupes avec Droogz Brigade, son groupe toulousain formé avec ses potes, mais ma préférence vient pour « Planet X», association du plus new-yorkais des beatmakers français et de quelques MC américains : le rap underground n’aura jamais été aussi délicieux…
Il a fait quelques EPs en solo mais bosse principalement en collaboration comme en groupes avec Droogz Brigade, son groupe toulousain formé avec ses potes, mais ma préférence vient pour « Planet X», association du plus new-yorkais des beatmakers français et de quelques MC américains : le rap underground n’aura jamais été aussi délicieux…
Aussi, son taff avec Mysa est un fin mélange entre le style dark d’Al’ Tarba et l’écriture « propre » du rappeur français. On approuve.